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C'est pas faux

C'est pas faux
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12 février 2007

Around the world

Vous êtes tous, ou presque, au courant de mon goût pour les voyages, les pays et les langues étrangères. Voir le monde est une idée qui a germé très vite dans mon petit crâne, alors que je rêvais devant les photos de mon atlas pour enfants, ou encore lorsque l'on jouait avec Aurélie, et que l'action se déroulait absolument tout le temps en Amérique. L'idée de partir pendant 5 ans faire mes études au Japon grâce à une bourse accordée à des étudiants en japonais m'a effleurée au lycée, mais s'est ensuite évaporée, parce que le Japon c'est très loin, que le japonais c'est très dur, que 5 ans c'est très long et que je me sentais trop jeune pour cette expérience. Ensuite, en terminale, j'étais dans le flou concernant mon avenir. Que faire, que devenir? Pourquoi pas aller dans une fac américaine? Emballée par le projet, hop on regarde sur internet, et hop on oublie aussitôt...2000 euros l'année, ça va pas être possible...Alors, pourquoi ne pas partir en tant qu'au pair, à moindre frais? Seulement voilà, il faut être majeure et, étant née en fin d'année, ça ne collait pas niveau dates...Alors je me suis tournée vers l'Angleterre, moins interressant financièrement, pays qui ne m'attire pas...mais je veux partir pour grandir, pour devenir indépendante, pour me prouver que je peux le faire, gagner en maturité et en confiance en moi. Au niveau de l'âge ça peut passer...allons-y...mais j'ai changé d'avis, oui je sais, je suis une girouette, je ne sais pas ce que je veux...mais c'est très clair pour moi, au contraire je sais ce que je veux, et aussi ce que je ne veux pas. Alors inscription à la fac, et on oublie le projet du départ. En fait, on ne l'oublie pas, on le range dans un coin de sa tête et on y repense parfois, avec des regrets. Et puis le jour des 18 ans arrive et deux jours après, les recherches pour trouver un organisme reprennent. Cette fois, je pars aux USA, je ne veux pas vivre avec le regret de n'avoir jamais réalisé mes rêves...c'est maintenant ou jamais!
L'entourage ne comprends pas toujours, surtout ma petite famille qui ne veut pas me voir partir...mais heureusement! Ca prouve que vous m'aimez et c'est très chouette, mais par pitié ne me découragez pas, j'ai besoin de soutien!
Dans l'entourage aussi, toujours les mêmes questions...

-Pourquoi tu pars?
Parce que j'en ai besoin voyez-vous, je le sens et je ne peux pas l'expliquer...il y a bien sûr des explications comme "apprendre l'anglais", "visiter le pays", "gagner en maturité etc..." mais je ne saurais vous dire...c'est encore plus profond...
-Mais pourquoi si loin?
J'avais pensé à l'Australie aussi alors t'as qu'à voir...L'Amérique c'est le pays des rêves n'est-ce pas?!

J'espère vraiment que cette fois c'est bon, que je vais enfin réaliser l'un de mes rêves les plus chers...Bien sûr il y a tout ce et tous ceux que je vais laisser en France...Mais que les gens que j'aime se rassurent...Un an ça n'est pas si long, et je continuerais de vous aimer, même de si loin, parce qu'on ne se débarrasse pas de moi aussi impunément!


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8 février 2007

les bons élèves

Nous avons tous déjà été confrontés à ces petits emmerdeurs communéments appelés les "bons élèves". Ils prennent toutes les formes, toutes les tailles...ils ne peuvent être repérés par leur physique puisqu'ils parviennent à ce fondre dans le troupeau panurgique (?) d'une classe toute entière...Ne vous fiez pas aux apparences! Ils sont partout, nous sommes envahis... Chers amis bloggeurs, comment reconnaître le bon élève? Il existe des tests très simples...Vous soupçonnez Raymonde, une "camarade de classe" (expression de prof quelque peu désuète...) d'être une B.E? Si cette jeune fille a lu le livre, surligné les passages métaphoriques et les expressions déïctiques et en a fait une analyse littéraire alors que vous, vous êtes au courant depuis une heure qu'il y a un livre à lire pour lundi prochain (ha? Et je peux l'acheter où? Quel auteur tu dis?), vous êtes très probablement en face d'une B.E. Pas convaincu? Voici un autre test...le B.E est persuadé d'avoir "troooop foiré" le dernier devoir sur table et de se "taper une troooop sale note, tu t'rends pas compte" (bien sûr ces paroles vous rassurent "ouf on sera au moins deux à ne pas avoir la moyenne!") Seulement voilà, Raymonde aura une note à faire pâlir tous les marquis de Sade, à faire rougir les putains de la rade... (des années de Michel Sardou ressortent parfois...merci maman!) Et vous, bien sûr, élève non pas médiocre mais faignéant au possible, vous sentez con et surtout légèrement agacé envers Raymonde...Les soupçons font peu à peu place à l'indéniable vérité...
Enfin, vous allez être sûr que Raymonde est une bonne élève. Lors du dernier devoir, vos neurones se sont heurtés à une question que vous êtes persuadé n'avoir jamais vue dans vos leçons. (parce que ce coup-ci, vous avez révisé!) En sortant de la salle de torture neuronale, vous demandez à tous vos amis (Sauf Raymonde, qui n'est pas encore sortie) s'ils ont entendu parler de la question 5, celle qui utilise des mots que vous ne connaissez pas. Autour de vous, les réponses sont négatives. Vous voilà sauvé, personne n'a vu ça, erreur du prof, vous allez vous faire un plaisir de le lui faire remarquer lors des résultats!
Nous voici au jour des résultats. La fameuse question 5 vous a condamné au redoublement. Cris de désespoir dans la salle. "Mais on a jaaaaamaiiiiiiis vu ça!" Et là, réponse qui donnerait à l'élève le plus pascifiste des envies de meurtre : "Il y en a qui ont su y répondre, alors c'est qu'on l'a vu!"
"Nom de ....Et toi Raymonde t'as eu combien? 17...ha!"
Voilà chers amis bloggeurs, vous avez compris que le B.E est un emmerdeur...
C'est pourquoi j'ai décidé, il y a quelques jours, que j'allais moi aussi devenir une bonne élève parce que j'aime drôlement faire chier le monde!
  

8 février 2007

C'est bientôt les vacances! Demain pour les plus

C'est bientôt les vacances! Demain pour les plus fatigués, vendredi prochain pour nous autres, pauvres petits étudiants...! Alors, afin de ne pas voir ces jours précieux fondre comme neige au soleil (ou comme la banquise au Groenland...) et de ne pas se dire la veille de la rentrée "et voilà, j'ai rien foutu." ; j'ai décidé que j'allais être très productive pendant cette semaine! Voici la liste des choses à faire:
-Finir (ou presque) le dossier pour les USA;
-Se faire arracher les dents de sagesse (ouille)
-Se mettre à jour niveau boulot (pfiou)
-Faire la fête (youpi!)
-Aller au code
-Et surtout...glander et faire la grass' matinée!
Programme chargé!
En attendant, mercredi c'est la fête la plus commerciale et la plus dégoulinante de mièvrerie qui soit...vive la saint Valentin! Fête créee pour rappeler aux célibataires à quel point ils sont seuls, et pour ruiner les autres, ceux qui ont trouvé un gniangnian ou une gnianegniane pour l'occasion. Alors je m'adresse à vous, chers amis célibataires: ne vous en faites pas, il y a beaucoup plus agréable à faire que de se torturer les neurones pour savoir ce que vous aller offrir à votre "choupinou d'amûr" ou à votre "pupuce des îles"...En plus, le restaurant c'est cher, et ça fait grossir. Voyez à quoi vous échappez!
Quant à vous, compatriotes non-célibataires...qu'allez-vous offrir à votre cher(e) et tendre? j'aimerai bien qu'on balance quelques idées dans les commentaires, parce que je me retrouve légèrement à court d'idées!
En attendant, (et ce n'est pas Marianna qui va me contredire...!) on peut toujours se régaler avec quelques carrés de chocolat!

5 février 2007

où sont les canons?!! (et pas les boulets...?)

Comme second article, l'inspiration m'est venue d'un coup d'un seul, alors que j'attendais le bus ce matin. Vous allez vite vous rendre compte que c'est souvent à  ce moment que les idées et que l'inspiration me viennent, mais il faudrait faire un calcul pour savoir le nombre d'heures par an que je passe à attendre le bus, dans le froid ou sous la pluie, parfois même les deux le plus souvent! Bref, une question existentielle est venue me ronger les neurones. Une question qui n'est , pour être totalement honnête,  pas arrivée toute seule. En effet chers amis bloggeurs, il faut que vous sachiez que je me suis droguée aux Walt Disney (encore eux!) étant enfant, ainsi qu'aux contes de fées, et, plus grave encore, au couple ultra mythique que nous avons tous envié, Barbie et Ken. Adolescente, nos déesses les séries américaines ont pris le relais sur les princes et leurs blondes princesses. (mais sachez que je ne désespère pas, Wiliam est casé certes, mais il reste encore Harry sur qui se rabattre, tout n'est pas perdu!) Actuellement donc, LE prince charmant dont rêvent une majorité de ces damoiselles est le sublime Wentworth Miller (notons que mon clavier est déjà noyé sous un filet de bave beurk...Mais non voyons, ne nous emballons pas, ce n'était qu'une boutade...quoique...). Mes pensées ce matin étaient donc dirigées vers le dernier épisode de prison cassée que j'ai visionné. "Haaaa si je pouvais croiser un Mickael Scofield je vous dis pas..." OUi mais, voilà, et j'en arrive enfin à cette question existentielle dont je vous parlais; où sont les canons? D'où sortent les docteurs mamours et autres plombiers-jardiniers taulards? (je vous fait un mixe des séries dont je m'abreuve...saurez-vous les reconnaître?!) Pourquoi les sottes blondes héritières, pour ne citer que celles-là, peuvent-elles se taper d'incroyables canons alors que nous autres, pauvres femmes anonymes devons-nous nous contenter des boulets? (Vous avez saisi boulet-canon? Non parce que j'en suis assez fière, alros si ça tombe à la flotte...)
Quelle est la solution pour régler ce problème? Et bien mesdemoiselles, je propose une révolution! Rendez-vous ce week-end à Hollywood, et manifestons! Que l'on nous restitue des canons, nous y avons le droit nous aussi! Abolition des privilèges!
Wentworth attends-moi j'arrive :D458632167_l

3 février 2007

On y vient

Depuis le temps que faire un blog me titillait le clavier, nous y voilà! Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, il est 22h30 TRES précisémment et après avoir passé une soirée des plus, des plus, des plus.... intérressantes en compagnie de mon chien qui a des gaz et de mon ordinateur qui surchauffe, (en gros, je suis entourée par des connards qui contribuent au réchauffement climatique, ceci étant j'aime mon chien et mon ordinateur hein) je me suis décidée à créer un blog pour parler de moi. Parce que souvent on a envie de parler de soi, mais on ne sait pas à qui, de peur d'ennuyer un peu les gens quand même. Ensuite vient le choix très cornélien qui s'ouvre à nous, créateurs bloggeurs: quel (mince, comment dit-on...?) hébergeur (on dit ça? Ca fait mieux que "truc sur lequel on crée un blog, tu vois quoi!") vais-je choisir? La palette est large, le choix est rude, le dilemme est cruel, l'hésitation provoque des gouttes de sueur mais ça y est on se lance, se jette à l'eau, franchit le cap, on en choisit un! Euphorie passagère (quelques secondes) avant de replonger dans un choix difficile...le titre du blog... Je vous explique mon choix: cela m'a fait penser au choix que l'on fait lorsque l'on nous propose un chocolat..."qu'est-ce que je vais choisir lilalilaloum...!" (oui j'avoue que mes références sont très gadelmalisées.) Mes amis (ou pas),  je vous souhaite une bonne lecture (ou pas) mais toujours est-il que la première personne passant ici et ne laissant pas de commentaires se verra emprisonnée et condamnée à regarder le passage de la mort de la maman de bambi en boucle pendant 10 ans, puis la mort du papa  de Simba pendant encore 10 ans, puis la mort de la bête (mais pas sa transformation en prince) pendant encore 10 ans, ainsi que tous les passages tristes de Walt Disney (tain c'est cruel en fait les Walt Disney :/ ) jusqu'à ce qu'ils soient moches, pauvres et gros.

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